Autrefois critiqué par les acteurs de la finance traditionnelle, parce qu’ils sont nés à travers les bitcoins et les autres cryptomonnaies les blockchains commencent à attirer ces derniers.
Place aux fintechs
D’après Emily Vaungh, directrice marketing de Gem, « les Blockchain de type bitcoin ne permettent pas d’avoir assez de confidentialité comme les ledgers. Les banques recherchent une couche d’isolement où elles peuvent effectuer des transactions et des dédommagements sans que les participants de la blockchain ne les voient. Cependant, la blockchain fonctionne comme un enregistreur de log et un logiciel.
Les régulateurs apprécient cette impossibilité de modifier les opérations et qui donne la possibilité d’ajouter des mécanismes dans la technologie afin d’appliquer les règles financières de façon automatique. »
Mais Gem propose une solution qui soit identique à Active Directory pour les banques et différentes organismes financiers pour la Blockchain, les multiples acteurs sans oublier qu’il s’adresse à d’autres entreprises examinées du même secteur sans pour autant être obligé de savoir ce qu’il se passe exactement.
Premiers tests sur la Bourse
Après avoir réglé le problème de l’anonymat, il restera à voir si la blockchain correspond aux attentes des banques en termes par rapport à la charge de travail et de rapidité.
Cela fait deux ans que le consortium R3 qui réunit 42 banques mondiales penses à créer plusieurs utilisations de la blockchain dans le l’univers financier. La Barclays qui fait partie de ce collectif se base sur ses réflexions pour enregistrer des « contrats intelligents. » ce système sera mis en place par la BNP Paribas et trois sites de crowdfunding en France afin d’émettre des obligations boursières.
Ainsi, les investisseurs qui achètent ce genre de titres se rendront compte que leurs paiements seront réalisés automatiquement et ils recevront automatiquement des e-certificats. Une entreprise basée aux États-Unis appelée t0 a inventé son programme consacré au trading haute-fréquence (HFT) à Wall Street.
Au mois d’avril, Patrick Byrne, patron de TO avait annoncé sa vision au cours de Money 2020 Europe que : « Nous concentrons notre énergie sur le système de compensation et sur la sécurité. Nous pourrons proposer le même service en faisant dans la compensation comme les hedges funds traditionnels moins coûteux et plus sécurisé, car ils subissent rarement les risques financiers.